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Hommage : Olukè NAYO K. Céphas, un grand homme « achevé »

Quatre ans( 1er mars 2021-1er mars 2025) déjà jour pour jour que tu as quitté ce monde des vivants. Éprouvé par cette expérience douloureuse inouïe, il est important pour nous de se concentrer un temps soit peu, à te rendre un vibrant hommage mérité pour tout ce que tu as été pour nous dans la famille.

Tout au long de ton existence, de peu que je connais de toi, tu incarnais de multiples facettes, qui pour ainsi dire, faisaient de toi un grand homme « achevé» de part tes Bienfaits dans la vie de ces centaines de personnes. En laissant ces quelques lignes ce matin à l’anniversaire de ton décès, je me souviens encore de ce que tu as apporté de façon significative dans la quête de Bien être.

Sans faire usage excessif des considérations liées à ma personne, je me ferai le devoir de revenir sur certains aspects saillants de ta vie. En effet, tout au long de ta vie, tu as su ajuster les intérêts « personnels» et ceux «familiaux»; au point où ceux familiaux ont largement dominé les pronostics. Selon toi, «La famille n’es pas sujette d’appréhension restreinte. Elle devait par nature extensive. C’est-à-dire, cette volonté de créer une communauté de rêves, d’Amour, de partage, d’entraide et de communion». Ainsi, ton degré d’obsession aux intérêts familiaux, résulte d’une éducation et d’un engagement dont tu portes les marques emblématiques. En une phrase, tout se résume par ceci : tu es un homme hyper altruiste.

Qui pour te remplacer ? En réalité, c’est une question légitime. Puisque, la vie en elle-même est une succession d’événements et de circonstances. Au regard d’une telle préoccupation fondamentale, chercher à répondre à la question initiale susmentionnée, se révélera vaine. Disons d’emblée, on ne remplace pas NAYO K. Céphas. Car, tout prétendant qui cherchera à te remplacer, devra faire preuve d’une probité morale sans concession, condition requise aux fins de faciliter son intégration dans le Panthéon des Grands Hommes de Valeurs.

S’il est certain que le décès d’un proche constitue une épreuve redoutable oscillant entre douleur morale et interrogation sur notre existence, il n’en demeure pas moins vrai qu’il est procédé d’un ensemble d’actes qui d’une manière ou d’une autre, impactent notre environnement social immédiat. Même après notre passage sur terre, les gens parleront de nous, en Bien ou en Mal.

A jamais dans nos cœurs Oloukè


​​​Ton petit fils GNICOLEY K. Guy

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