Le panafricanisme ne saurait se construire contre ni l’occident ni je ne sais quel autre camp d’influence géopolitique. Le Panafricanisme ne saurait s’identifier à cette mode des influenceurs de pacotille qui vont faire fortune chez les juntes militaires au pouvoir en Afrique, et qui s’adonnent à des hold UP sur les libertés démocratiques.
Le panafricanisme ne saurait non plus se définir par la seule volonté, la seule avidité diabolique d’exciter les nationalismes belliqueux contre le reste du monde.
Le panafricanisme ce n’est évidemment pas le seul narratif des activistes bizness man comme KEMI SEBA, Nathalie YAMB, NYAMSI, EGOUNCTHI, KONARE !!
La liberté de penser et de parler, ils veulent nous la prendre, la modifier à leur guise. peut néanmoins être menacée, par exemple par des petits groupes d’activistes érigés en nouveaux censeurs. Chacun défend sa cause en imposant sa théorie et sa langue : certains mots sont bannis, d’autres sont imposés, et l’autocensure progresse.
Kemi SEBA sait se vendre, il sait monnayer son silence. Il sait gueuler pour intimider les chefs d’État. Lesquels ont tout intérêt à l’amadouer financièrement pour avoir la paix ! Kemi SEBA est actuellement avec NYAMSI et Nathalie YAMB les activistes les plus riches . Leur stratégie est simple : si tu veux la paix chez toi, si tu ne veux pas qu’on excite ton peuple contre toi, INVITE NOUS CHEZ TOI, INSTALLE NOUS DANS UN HOTEL CINQ ÉTOILES, UNE ENVELOPPE CONSÉQUENTE… Et voilà ! Le tour est joué.
C’est donc une Afrique ligotée, phagocytée par les intérêts étrangers que veulent pour nous nos frères de couleur dont la vie, la leur se passe entre les jets affrétés par les gouvernements putschistes qu’ils soutiennent à cor et à cri, et autres avions dans lesquels ils voyagent en bizness ou en première classe. Ce foutage de gueule doit être sérieusement dénoncé.
Assez qu’on nous prenne pour des moutons.
Ibrahim MOUSSAH