Dans le landerneau entrepreneurial Togolais, la résilience est synonyme d’un nom ; Constantin Amouzou. Un philanthrope qui a su se faire violence, raccorder les ficelles, évaluer la situation et reprendre son bâton de manager dévoué à laisser des traces indélébiles.
Constantin Amouzou puisque c’est de lui qu’il s’agit est un phœnix qui renaît de ses cendres en adoptant la discrétion et en misant plus sur le travail bien fait dans l’ombre afin que les actes posés parlent en son nom. Un regard dans le projecteur il y a quelques années nous montre que ce monstre des TP (Travaux Publics) ne pouvait faire une semaine sans faire la Une des journaux, que ce soit dans son pays ou non.
Mais comme on dit, les affaires, souvent ça marche souvent ça tombe . Mais l’essentiel est d’avoir la tête sur les épaules et savoir recevoir le choc et prendre des décisions à la hauteur du choc pour sauver ce qu’il reste à sauver, car on aime ce qu’on fait et souvent on ne le fait pas pour soi mais pour sa communauté. Être utile, la raison qui guide les vrais dont Constantin Amouzou.
Alors que son entreprise CECODRI avec a la clé CECO BTP fête ses 20 ans cette année 2024 a fait peau neuve depuis un moment pour devenir CECO. SA, il était pour moi nécessaire, puisqu’il s’agit ici d’une opinion personnelle qui n’engage que moi, de m’amuser à revenir sur ce personnage de grande valeur qui est devenu muet dans son pays, mais pourtant qui continue d’impacter positivement et continue de faire vivre son joyaux qui a perdu son éclat d’en temps.
Si nous avons décidé de nous prêter à cet exercice c’est bien parce que ça nous démange les doigts et les méninges de parler de cet homme qui a été un salvateur pour des milliers de Togolais. Et qui depuis quelques années, malgré le choc brutal subi par l’entreprise se relève. En Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Bénin, Guinée Conakry, etc .. l’homme a ses tentacules et a fait de grandes œuvres à coût de milliards. Pour ses 20 ans, la presse béninoise était très mobilisée. Quid de celle Togolaise? Ou c’est une stratégie ? Enfin, la question n’est pas vraiment là. Pour ma part je serai heureux de revoir CECO BTP devenue CECO. SA prendre ses lettres de noblesse au Togo. Il y a encore quelques années, il était pratiquement le deuxième employeur après l’état avec plus de trois (3) milles employés. Et une remarque de taille, les employés avaient des salaires confortables. A l’époque avoir son frère, sa sœur, son enfant travailler à CECO était une fierté. Ce dernier « était arrivé » comme on le dit, « rire ».
Il est important après 20 ans de revenir sur ces faits pour parler de l’ampleur de cette structure qui a fait la fierté du pays. Constantin le discret, on peut le renommer ainsi aujourd’hui. Mais sa discrétion est couronnée de succès même si les togolais n’ont pas beaucoup d’échos. Souvent cette vie est préférable. Tant qu’on continue d’être utile et de laisser des traces tangibles.
Ceci n’est pas une opinion pour parler scientifiquement de CECO actuellement. Bien au contraire, il s’agit de souhaiter un joyeux anniversaire à l’homme Constantin et à sa structure et souhaiter courage et abnégation à celui-ci afin qu’il continue à œuvrer afin de laisser des traces indélébiles que ce soit au pays où a l’extérieur pour le rayonnement de notre chère patrie. Il reste une valeur sûre et son parcours peut inspirer plus d’un.
Ceci n’est pas un article de presse (hihihihi)😁. C’est bien un encouragement à une personne pour ce qu’elle est, ce qu’elle a été et continue de laisser comme traces. En Tant que quelqu’un qui a voulu être religieux Marianiste chez les Frères Marianistes du Collège Chaminade à kara, le nom Constantin Amouzou revenait sans cesse lors de ma formation religieuse puisque lui-même fut un ancien Frère Marianiste. Alors je ne peux qu’être en Esprit de famille avec lui et lui jeter des ondes positives. Humainement ce qu’il a pu faire, que la providence veille afin qu’il en fasse davantage. Le Togo a besoin de ses fils de valeur.
Constantin le phœnix dans l’ombre !
Comme je le dis toujours, c’est Sans Rancune.