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Tribune libre : FRANKLIN NYAMSI PRIS LA MAIN DANS LE SAC DES MÉCHANCETÉS DE DU MENSONGE

Franklin Nyamsi, l’autoproclamé plus grand savant et le plus grand africain le plus préoccupé de son continent qu’il connaît à peine, même sa femme blanche s’étonne d’un tel décalage culturel. Tout cela ne l’empêche pas de vouloir paraître plus aujourd’hui comme le docteur qui vient en urgence au chevet d’une Afrique malade. Il s’y rend non pas au Cameroun, son pays d’origine, rappelons que NYAMSI est naturalisé français, mais au Mali, au Niger et au Burkina Faso pour une seule et unique raison : PRENDRE DU FRIC, avoir si possible, lui aussi comme son acolyte Kemi SEBA, des privilèges. Pourquoi pas un passeport diplomatique, un poste de chargé de mission ou de conseiller auprès de l’une des trois juntes au pouvoir dans les pays du Sahel. Bref, il s’agit de mettre du beurre sur les épinards. NYAMSI a juste son salaire d’universitaire. Pourquoi ne pas engraisser encore sa silhouette sur le dos des misérables africains qui eux sont dans la dèche !? Il entend dénoncer l’occident démocratique en Afrique pour promouvoir ses amis bienfaiteurs qui écrasent les libertés individuelles. Lui, il profite de la pleine liberté en France pour contraindre ses frères et ses sœurs africains à demeurer dans l’oppression.

Il aurait tant aimé être chouchouté par le nouveau président du Sénégal. Cela n’a pas été le cas malgré une lourde insistance. Puis énervé, il s’est mis honteusement à l’insulter. À se moquer de sa voix, qu’il qualifie de FLUETTE. Une méchanceté jusqu’alors insoupçonnée, gratuite et qui trahit l’avidité sauvage d’un authentique sauvage qui se considère comme un civilisé, parce qu’il vit en France, et a épousé une blanche et a des enfants métissés .
Le développement économique et social de l’Afrique ne le préoccupe pas du tout. C’est l’argent, le profit, les privilèges, une vie sociale aisée qu’il ne peut avoir avec ses modestes revenus de piètre universitaire qui l’intéresse. Frères et sœurs africains, méfiez vous de ces requins.

K. AMOUKOU

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