Améliorer les conditions de vie des habitants est un objectif constamment poursuivi par le chef de l’État Faure Gnassingbé dont les mandats sont consacrés au développement social et économique. Dans tous les secteurs sociaux, depuis 2005 et plus encore aujourd’hui, une assistance forte et convenable est offerte par le gouvernement, conformément aux ambitions du président de la République.
Une totale priorité est accordée aux secteurs sociaux au Togo. En 2023, près de la moitié du budget de l’État était destiné aux secteurs sociaux. La santé, l’éducation, le développement à la base, l’accès à l’électricité, etc. y trouvent leur compte.
Les projets mis en œuvre pour le bien-être des citoyens sont nombreux : la construction des unités de soins périphériques (USP), la disponibilité des médicaments, la construction des bâtiments scolaires, l‘amélioration de l‘équité et de l‘égalité de genre dans la société, le Programme d‘urgence de résilience dans la région des Savanes (PURS), etc.
Une société plus inclusive
Les zones rurales, semi-urbaines et urbaines sont davantage développées grâce aux initiatives à fort impact, dont le projet des Filets sociaux et services de base (FSB) qui a mobilisé 39 milliards de francs CFA pour ses actions.
De 2017 à 2023, où le projet est arrivé à terme, sur financement de la Banque mondiale (28 milliards), 200 villages ont été dotés de 200 infrastructures de base. 15 millions de repas scolaires ont été fournis à 52 173 élèves de 161 écoles primaires publiques (EPP) et plus de 104 000 ménages ont reçu des transferts monétaires trimestriels payés dans 975 localités.
À cela s’ajoutent 15 001 ménages qui ont bénéficié des mesures d’inclusion économique, dont 11 251 ménages en milieu rural et 3 750 en milieu urbain. Sur financement de l’État togolais (4,5 milliards de francs), 157 888 élèves ont été servis dans les cantines scolaires de 1 020 écoles primaires. 41 008 ménages ont reçu des transferts d‘argent.
Plus de 2 000 milliards pour poursuivre l’œuvre
L’année 2024 est celle de tous les défis, une année qui précède l‘échéance 2025 et qui nécessite de gros efforts de promotion du mieux-être. Le budget de l’État est votéavec une somme de 2 166,1 milliards de francs dépensée en grande partie pour les secteurs sociaux de sorte à éliminer les vulnérabilités.
Les projets phares, inscrits dans la Feuille de route gouvernementale, sont l‘optimisation des services publics offerts aux citoyens, la continuation des réformes d‘amélioration du climat des affaires, la lutte contre la flambée des prix, le soutien aux agriculteurs, surtout pour la production vivrière et céréalière, pour une suffisance alimentaire, etc.
Pour améliorer l‘espérance de vie, l‘année 2024 a marqué l‘opérationnalisation de l‘assurance maladie universelle (Amu). La CNSS et l‘Inam offrent désormaisaux agents du privé et aux fonctionnaires un accès facile et moins coûteux aux soins ou services de santé de qualité.
L’assistance du ministère de l’Action sociale
Durant les 12 mois de l‘année 2023, ce bras gouvernemental a porté assistance aux couchesvulnérables telles que les personnes âgées, les handicapés, les enfants en situation difficile... Le ministère a dépensé un montant de 1,7 milliard de francs à cet effet. Il a servi à améliorer l‘existence des Togolais et à renforcer la justice sociale à travers demultiples offensives.
L‘emploi et la formation des jeunes sont encouragés par des programmes pragmatiques comme la modernisation des universités publiques, la valorisation des offres de formation plus diversifiées et adaptées aux besoins des marchés, la création des Ifad, l‘activité de la PIA dont on attend 35 000 emplois, les programmes présidentiels d‘excellence, pour ne citer que ceux-là. Le changement est nettement visible, le Togo transforme ses secteurs sociaux à coup de milliards et avec des actions à retombées directes.