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Tribune Libre : LA VÉRITÉ RATTRAPERA UN JOUR NATHALIE YAMB ET SES COMPAGNONS DU MENSONGE

Nathalie Yamb est de plus en plus l’objet de surveillance, d’une surveillance très précise et stricte des services de renseignement américains et français. Ces agissements, ces comportements louches qui servent une cause: la cause unique et exclusive de Poutine. Elle assure ne rien cacher de ses actions et de ses activités, mais des documentaires publiés à la télévision révèlent ses liens nocifs avec Poutine pour nuire aux démocraties et pour déstabiliser les régimes africains qu’elle juge proches des occidentaux. Pour elle, pour tous les activistes, le diable le responsable de tous les maux de l’Afrique et même de la planète, c’est la FRANCE.

Un nom qui les horripile au plus haut point. L’existence physique même de la France serait à leurs yeux une anomalie.

Ils voient les mains de la France partout dans le monde. Les français sont selon eux derrière les groupes terroristes qui déstabilisent l’Afrique.
Quand en 2017, 2018, 2019, certains pays du Sahel étaient venus chercher la France pour les aider à lutter plus efficacement contre le terrorisme, ces activistes ne trouvaient rien à dire, mais dès que la Russie a commencé à avoir des visées stratégiques dans la région et qu’elle s’est donnée les moyens de l’industrie de la désinformation à outrance et relayée par ces mêmes activistes grassement payés, là la France est devenue le diable à abattre. L’empêcheur de mettre en œuvre les ambitions colonialistes de poutine. N’importe quoi !!!!

Décidément pour les États de l’AES, pour les putschistes qui les dirigent tous les prétextes qui accusent la France sont bons pour détruire son image auprès de leurs peuples respectifs pour maquiller les échecs de leurs politiques économiques et sociales, et leurs peuples soumis aux multiples pressions n’ont d’autres choix que de gober la chose. Mais, des éveils se font et le réveil de leurs peuples qui ne tardera pas à venir replacera les vraies responsabilités à leur juste place et là la parole sera à l’histoire.

Momo Tchassanteh

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