Société

« Il m’a dragué pour son chien »

Estelle, la vingtaine bien sonnée a connu une navrante mésaventure au cours d’une sortie qu’initiaient ses amies. L’histoire, est pour le moins rocambolesque. « C’était un vendredi soir. Ma copine Samantha nous avait invité dans une boîte de la place. Au total, nous étions 6 et comme toujours, la soirée s’annonçait prometteuse car les filles savaient assurer. Mais comme les consommations sont souvent chères, nous avons d’abord traîné dans un snack-bar dans le quartier, avant de nous rendre vers minuit, à la boîte, bien en avance déjà. A peine arrivées, nous avons fait le show, comme d’habitude.» En réalité, comme presque toutes les filles frivoles, Estelle et ses copines nourrissaient le désir de se faire remarquer par la gent masculine. La séduction est comme toujours, leur mode opératoire pour éviter de rentrer bredouille. Mais ce jour-là, les choses ne se passèrent pas comme à l’accoutumée. «Je m’étais assise un moment pour prendre un peu mon souffle. J’avais beaucoup dansé. Pendant que je regardais mes copines se trémousser sur la piste, un homme, la quarantaine à peu près s’est approché de moi. Il était plutôt mignon et j’espérais à ce moment-là qu’il me parle. Ce qu’il ne tarda pas à faire. L’homme m’a tout de suite offert un verre. Après quelques questions aléatoires, il me proposa de faire un tour sur le parking pour continuer la conversation. » Bien qu’ayant accepté, Estelle était loin d’imaginer la mésaventure qu’elle devait vivre ce soir-là. « Dehors, il a commencé à me faire des compliments sur mes formes qu’il trouvait particulièrement intéressantes. A ce moment-là, je me faisais déjà un tas d’idées. Je pensais à la tête que ferait Elodie, et toutes les filles d’ailleurs, lorsqu’elles me verraient avec un beau mec du genre. » Sans perdre de temps, l’homme a proposé à la jeune femme de faire un tour jusqu’à la plage du Lycée Léon MBA. Sitôt arrivés, tout s’est enchaînés. « Tout est allé très vite. Il s’est d’abord approché de moi, m’a caressée les cheveux avant de me demander de descendre mon Jean. Sans broncher, je me suis exécutée, pensant qu’il voulait simplement assouvir un vice. Je pensais qu’il me prendrait sur le capot. Ensuite, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes. Sans poser de questions, je me suis encore exécutée. Mais quelque chose me parut bien étrange. Au lieu de s’activer lui aussi, il demeurait là, debout, m’observant avec des yeux de pervers. Puis, il a fait quelques pas en arrière, a ouvert la portière de son véhicule. Il a pris le chien par la laisse. C’est alors qu’il m’a dit qu’il m’avait dragué pour lui. » Prise de frayeur, Estelle se relève et remonte le Jean qui à ce moment-là peine à s’ajuster. Mais elle ne se doute pas une seule seconde de ce qui l’attend. « Tout de suite, son visage a changé d’expression et il a sorti une arme de son blouson. Il m’a dit que si je n’obéissais pas, il m’abattrait comme une chienne. J’ai eu la peur de ma vie. Entre le chien qui aboyait, la langue pendue et l’arme tendue vers moi, je me suis tout de suite remise à baisser mon pantalon. Je n’ai pas attendu qu’il me demande de me mettre à quatre pattes. » Le reste vous savez ! Pour la première fois de sa vie, Estelle a connu à son corps défendant, un acte de zoophilie. Cette expérience, elle dit ne l’avoir jamais racontée à ses amis ce soir-là. Après avoir abusé d’elle, l’homme l’a raccompagnée jusqu’à la boîte et, avant de s’en aller, il lui a tendu deux billets de 10.000 francs.]]>

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