Egountchi Behanzin, de son vrai nom Sylvain Afoua, est le fondateur et président de la Ligue de défense noire africaine.
Condamné en 2014, à 7 ans de prison pour viol sur personne vulnérable, autrement dit sur une personne handicapée, puis quelques années plus tard pour des menaces sur un élu, il est accusé à plusieurs reprises pour des actions brutales, extrêmement violentes. Cet activiste bagarreur, ancien rappeur, qui veut couper les bras et les jambes à tout journaliste de race blanche qui ne soutiendra pas la cause des noirs tel qu’il le souhaite lui, s’est fait connaître pour ses revendications racialistes. Il faut d’ailleurs préciser que son mouvement qui avait des « prises de positions racistes, antisémites, machistes a été dissout en 2021 par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.
Dès son arrivée en France, cet d’origine togolaise, né en 1988, et donc arrivé en France en 2002 après l’assassinat de son père Marcel Afoua, dit Geay (1948-2002), et aussitôt quasi abandonné, sans personne pour s’occuper de lui, il a été pris en charge par les services sociaux. C’est en effet la France, cette France horrible, qui l’a nourri avec l’argent des contribuables français, et lui a tout donné, qu’il prend aujourd’hui dans une haine la plus féroce, la plus inextinguible qui soit, et contre laquelle il multiplie ses outrances, éructe que la France est un État totalitaire, terroriste etc.
Qu’est ce qui explique une telle haine ? L’histoire de France ? Mais l’histoire de France n’existait pas dans sa globalité lorsque la France s’occupait de lui fournir le nécessaire vital, avec un passeport français, et avec lequel il circule dans le monde pour salir la France et son peuple dont il est ? En réalité, cet activiste, comme ses acolytes, SEBA YAMB, NYAMSI, KONARÉ sont des personnages extrêmement imbus d’eux-mêmes, et démontrent l’incohérence de leurs engagements. Ils réclament la démocratie en Afrique, mais soutiennent ouvertement les régimes dictatoriaux les plus féroces de la planète. Pourquoi ? Parce que l’argent qui leur permet de vivre comme des nantis leur provient de ces pays totalitaires. C’est la source de leurs vies. Le panafricanisme n’est que la façade d’une énorme supercherie où ils trompent leurs propres frères et sœurs d’Afrique, qui, naïvement les croit. Violer, mentir, tromper, soutenir les putschistes de tout poil dans le monde sont leurs fonds de commerce. Petit à petit ils seront déshabillés
E. Agbéko
