De tous les pays de la sous-région, comme le Mali, le Niger, le Burkina et même le Bénin de Patrice TALON, on constate que sur le plan de la stabilité politique, c’est le Togo qui s’en sort le mieux. Loin de faire la comparaison avec les pays du Sahel qui ont connu des coups d’État, et qui, méprisés au début par les autres pays de la sous-région comme le Sénégal, la côte d’Ivoire et le Bénin, sauf le Togo, qui a toujours été un interlocuteur attention à leur cause, on est en droit de constater que en dépit des critiques émises par l’opposition togolaise et certaines organisations de la société civile, la stabilité politique générale du Togo est un gage réconfortant et prometteur pour toute la sous-région.
Le changement de constitution qui est en cours semble être compris par les populations après la tournée des députés et des membres du gouvernement. Les temps à venir donneront probablement raison à cet homme d’État visionnaire qu’est l’actuel président de la République, Faure GNASSINGBÉ, au pouvoir depuis 2025. Une belle réussite politique dans un environnement international des plus incertain. L’exemple de l’échec diplomatique de Patrice TALON prouve à suffisance que n’est pas médiateur et visionnaire qui veut. Sa posture guerrière contre le Niger aura été l’une de ses plus mauvais calculs politique, diplomatique et humanitaire. Depuis, il est regardé bizarrement par les populations africaines comme celui qui voulait tuer les Nigériens.
Est-ce bien étonnant quand on voit le traitement inhumain infligé particulièrement à l’opposante héroïne RECKYA MADOUGOU, et Joël AÏVO et bien d’autres prisonniers politiques ?
Le Rôle du Togo dans les mois, dans les années à venir, pour la paix, la sécurité et la stabilité de la sous-région demande que toutes les consciences éprises justement de paix, de sécurité et de stabilité aident le visionnaire togolais Faure GNASSINGBÉ à tenir le cap et à aider à la réintégration des pays du Sahel à une CEDEAO réformée et plus proche des peuples.
Albin K.