Nathalie Yamb, la sulfureuse activiste pro russe, détentrice de la double nationalité Suisse et Camerounaise, extrêmement critique vis-à-vis de l’occident, particulièrement de la France et des régimes de la Côte d’Ivoire, du Togo, mais étrangement silencieuse sur la dictature de Paul Biya, est au centre des pires obscurités. Personne ne sait réellement ce qu’elle fait. Elle a trempé un peu dans tout un peu partout. Dans l’audiovisuel, dans la téléphonie mobile, dans les transports maritimes, dans la presse écrite, sans jamais se fixer durablement avant de devenir agent activiste rémunéré au service des intérêts russes en Afrique. Cela avait commencé en sa qualité maîtresse de Mamadou Koulibaly, ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne, autre pion de la Russie en Afrique.
Est-il ici besoin de rappeler que la même femme aura été maîtresse de Laurent Gbagbo, de Jerry Rawlings et grassement stipendiée par des pouvoirs qu’elle combat aujourd’hui pour les attirer dans le giron russe. Citée dans plusieurs affaires, comme les Pandora papers et dans celles de plusieurs agences OFFSHORE, autrement dit des paradis fiscaux où elle demande, exige que soit virés les millions de dollars qu’elle perçoit pour ses activités d’activistes, cette panafricaniste bourgeoise et mercantile est adepte de violence à l’endroit de tout ce qui n’entre pas dans sa vision erronée des choses. Ses avances à peine voilées au dictateur Poutine ne sont plus un mystère pour personne. La dame de Sotchi comme on l’a surnommée rêve en effet d’être la maîtresse, une parmi d’autres du sanguinaire dictateur russe. L’argent n’a véritablement pas d’odeur pour elle. Le sang, évidemment ne saurait entacher des billets de banque…
Ces billets de banque qui lui permettent d’avoir grand train de vie, à l’image de son acolyte Kemi SEBA, avec des biens immobiliers un peu partout dans le monde.
Le panafricanisme est désormais le refuge de tous les faussaires, de tous les usurpateurs, de tous ceux qui se cachent derrière leurs méfaits pour accabler les autres. C’est bien connu maintenant. Dès que rien ne marche dans leurs pays d’origine à tous ces activistes usurpateurs d’un panafricanisme légitime, ils ont pour mission d’accuser la France, l’occident pour le bénéfice des intérêts russes.
Mais désormais le voile commence à se déchirer. La lumière de certaines vérités commence à pénétrer lentement mais sûrement dans les consciences qu’ils sont parvenus à endormir, et que peu à peu nous éveillons pour une meilleure prise de conscience de nos frères et sœurs d’Afrique.
Oui au panafricanisme sincère et libérateur !
Non au vendalisme, au détournement du panafricanisme par des activistes usurpateurs, mercenaires grassement payés par la Russie pour déposer l’Afrique entre les mains d’un nouveau colon.
L. Kokou
